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Claude Tchamitchian Sextet
« Traces »

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Claude Tchamitchian composition et contrebasse Daniel Erdmann saxophone ténor et soprano François Corneloup saxophone baryton et soprano Philippe Deschepper guitare Christophe Marguet batterie

// english version

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Au fur et à mesure de son évolution et de son épanouissement en tant qu’homme et en tant qu’artiste, Claude Tchamitchian s’est progressivement découvert une relation secrète, en partie refoulée, avec la part d’identité arménienne héritée de son père. Au fil des années, avec la création de son orchestre Lousadzac puis sa collaboration avec le virtuose du kamantcha Gaguik Mouradian, le contrebassiste n’a cessé de chercher des façons de sonder ce mystère des origines, sans pour autant jamais l’aborder de manière frontale.

Il faudra la découverte du livre “Seuils” de Krikor Beledian, premier volume d’une vaste fresque autobiographique, pour que tout change. A partir de ce grand texte sur la mémoire débutant par la découverte d’une liasse de photos de famille pour se développer à la façon d’une mosaïque en recréant et réinventant les vies des trois femmes présentes sur ces clichés, Claude Tchamitchian a entrepris de témoigner à son tour de sa propre histoire en composant, sur le même modèle, un recueil de thèmes évoquant ces personnages imaginaires. “J’ai pensé qu’à travers ma propre évocation de leurs destins, tout ce que certains avaient voulu annihiler, étouffer, détruire, resurgirait finalement — un peu comme dans ma propre histoire, l’Arménie refoulée par les parents avait resurgi dans mes mélodies,” explique Tchamitchian. “En ce sens ce projet est tout sauf un monument aux morts… C’est le témoignage vibrant que toute parole, toute culture, que l’on cherche à taire, à écraser ou à contraindre, rejaillit inévitablement.”

Créé en 2015 à l’occasion de la commémoration du centenaire du génocide arménien, cette longue pièce ambitieuse adapte le texte de Beledian à la voix de Geraldine Keller en une suite de tableaux sonores aux formes bien définies et aux scénarios très précisément agencés déclinant l’histoire de chaque personnage. Puisant autant son inspiration dans l’univers baroque de Charles Mingus que dans une sorte de terreau imaginaire arménien fantasmatique, Tchamitchian invente une musique lyrique cherchant la concision pour rendre compte du caractère instantané de ces clichés. Pour incarner ce projet très intime le contrebassiste a fait appel à une équipe composée de partenaires talentueux et impliqués : les saxophonistes François Corneloup et Daniel Erdmann, terriens, lyriques, fougueux et d’une extrême élégance ; le guitariste Philippe Deschepper avec ses harmonies précieuses et son sens unique de l’espace ; Christophe Marguet à la batterie, capable d’assurer une sorte de « continuo », dans un esprit très jazz, et d’apporter son sens des nuances et de la ponctuation. A la voix, Géraldine Keller, tout à la fois chanteuse, récitante et comédienne tient une place essentielle dans ce projet et se montre constamment exceptionnelle d’inventivité et de maîtrise. “A l’arrivée ce sextet est fondamentalement un « orchestre de jazz » avec des thématiques, des solos, des morceaux de bravoure, des formes rythmiques au service de l’improvisation — bref tout un éventail d’éléments idiomatiques se référant sans ambiguïté à cette tradition” conclut Tchamitchian. On ne saurait mieux résumer la profonde originalité de “Traces”…

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