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Programme
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Mercredi 16 septembre
19h00 Duo Jean-Pierre Jullian / Tom Gareil « Fil d’ombre »
21h00 Duo Naissam Jalal / Claude Tchamitchian
Jeudi 17 Septembre
19h00 Solo Jean-Charles Richard « Faces »
21h00 Duo Matthew Bourne / Laurent Dehors « A place that has no memory of you »
Vendredi 18 Septembre
19h00 Duo Jacky Molard / François Corneloup « Danses de l’Inouï »
21h00 Solo David Chevallier « Le Cœur du sujet »
Samedi 19 Septembre
19h00 Duo Christophe Monniot / Didier Ithursarry « Hymnes à l’Amour »
21h00 Duo Eric Echampard / Benjamin de la Fuente
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MERCREDI 16 SEPTEMBRE
19h00 Duo Jean-Pierre Jullian / Tom Gareil « Fil d’ombre »
Jean-Pierre Jullian : batterie & percussions
Tom Gareil : vibraphone & marimba
Le batteur Jean-Pierre Jullian et le vibraphoniste Tom Gareil développent leur complicité depuis le projet « Le mystère de la pyramide ».
En duo, ils traversent des couleurs, des énergies, des paysages harmoniques et rythmiques puisant leurs forces vives dans la mémoire de nos imaginaires. Aux confins du jazz, de la musique ethnique, de la musique contemporaine, la percussion est traitée de manière lyrique, en usant bien des possibilités expressives, des combinaisons de timbres, des contrastes entre bruits secs et résonnants.
La musique proposée est un prélude à la création « Chiapas II » présentée lors de la prochaine édition du festival les émouvantes 2021.
21h00 Duo Naissam Jalal / Claude Tchamitchian
Naissam Jalal : flûte, nay, voix
Claude Tchamitchian : contrebasse.
Naissam Jalal est l’une des figures les plus brillantes de cette nouvelle scène qui, en France, revivifie l’héritage de John Coltrane et Miles Davis en le frottant aux musiques du monde.
Pour ce concert, elle dialogue avec Claude Tchamitchian, membre de son trio et musicien particulièrement présent depuis la fin des années 1980 sur toutes les scènes et sur tous les fronts où se mêlent jazz, musiques improvisées et musiques traditionnelles.
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JEUDI 17 SEPTEMBRE
19h00 Solo Jean-Charles Richard « Faces »
Jean-Charles Richard : saxophone soprano & baryton
L’enregistrement du disque en solo « Faces » représente pour le saxophoniste Jean-Charles Richard l’aboutissement d’une recherche de plusieurs années. Nourri de ses diverses expériences, il parvient à accepter son passé classique et envisage son parcours de façon globale où les frontières de la composition, de l’interprétation et de l’improvisation sont parfois difficiles à déterminer.
Jean-Charles Richard bouscule allègrement quelques préjugés sur cet art du solo supposé difficile, dont les indispensables – maîtrise, rigueur et vision – doublés d’un sens évident de la dramaturgie, et servis par des sonorités somptueuses, participent essentiellement à un moment de pure beauté.
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21h00 Duo Matthew Bourne / Laurent Dehors « A place that has no memory of you »
Laurent Dehors : clarinette basse
Matthew Bourne : piano
Huit ans après la sortie de l’album « Chansons d’amour » (émv1034), on retrouve avec délices le duo Bourne / Dehors plus que jamais complices. De ce duo sensible et captivant, en constante communion quasi télépathique, on ne peut que s’émerveiller et goûter la délicate pudeur avec laquelle ces deux musiciens installent patiemment un climat d’une grande douceur, fragile et plein de mystère.
Une musique comme en apesanteur et en quête permanente de la note juste, la seule indispensable. Celle qui suscite l’émotion la plus vive, inscrivant leur musique dans une sorte d’intemporalité dont on a le sentiment qu’elle est une défense poétique face à l’air, bien malade, du temps présent.
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VENDREDI 18 SEPTEMBRE
19h00 Duo Jacky Molard / François Corneloup « Danses de l’Inouï »
Jacky Molard : violon
François Corneloup : saxophone baryton
Le violoniste Jacky Molard et le saxophoniste François Corneloup sont deux musiciens qui depuis de longues années arpentent et défrichent les chemins d’une musique réinventée sans relâche. Depuis plusieurs années, ils développent leur complicité au sein du quartet « Entre les Terres » qu’ils ont imaginé ensemble.
En duo, ils inventent un « ailleurs musical » porté par leurs influences respectives : Jacky Molard au violon, ancré dans les musiques bretonnes, François Corneloup au saxophone, inspiré par les musiques improvisées ouvertes.
21h00 Solo David Chevallier « Le Cœur du sujet »
David Chevallier : guitare électrique, Usine
A la fois très organisé et structuré, le solo « Le coeur du sujet » laisse une large place à l’improvisation, et exploite l’incroyable palette sonore de la guitare électrique.
David Chevallier a imaginé un dispositif qui place l’artiste au milieu et au contact direct du public. Cette proximité permet au spectateur de percevoir les moindres détails de ce qui se joue en direct pour lui. L’immersion du public est accentuée par la disposition des 4 amplificateurs, aux coins de la pièce, qui spatialisent en permanence les différentes strates sonores.
L’utilisation de l’informatique permet de programmer cette spatialisation en fonction du contenu musical. Elle est aussi un moyen, d’ajouter de l’aléatoire, ce qui stimule l’inventivité du musicien, et rend chaque performance unique.
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SAMEDI 19 SEPTEMBRE
19h00 « Hymnes à l’Amour” Christophe Monniot – Didier Ithurssary Duo
Christophe Monniot : saxophones alto, baryton & sopranino
Didier Ithursarry : accordéon
Saxophoniste au lyrisme à la fois épidermique et lunaire, Christophe Monniot rencontre le merveilleux accordéoniste basque Didier Ithursarry. Ils cultivent une complicité depuis plusieurs années dans différentes formations et souhaitent explorer aujourd’hui l’art du duo.
Ils nous invitent à déguster leurs hymnes à l’amour, entre compositions personnelles et relectures singulières de morceaux emblématiques signés Pascual Marquina Narro, Tony Murena ou Duke Ellington, en écho à leur profond attachement aux musiques populaires et traditionnelles.
21h00 Duo Eric Echampard / Benjamin de la Fuente
Benjamin de la Fuente : violon, électronique
Eric Echampard : batterie et électronique
Ce duo violon, électronique et batterie avec électronique est une improvisation libre jouant des contrastes entre l’espace intime des deux instruments et leurs espaces déployés par une énergie électrique foisonnante et rageuse teintée d’électronique.
Une quête d’alchimie complice entre les timbres de ces deux instruments, à priori si différents dans leurs comportements et leurs origines. Bien que cette formation soit quasiment une première pour eux, c’est aussi et surtout une aventure amicale de longue date qui sonnera sur cette scène.
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